Dans la ville de Washington où j’habite, il y avait une petite forêt (qui abrite maintenant un Costco) dans laquelle je passais pas mal de temps, où j’organisais quelques camps de jour et où je passais du temps, souvent nu, à déguster une bière et des chips ou un endroit idéal pour me détendre et me défouler avec ma dose de méthamphétamine.

Pendant plusieurs mois, j’ai pensé à quel point il serait amusant de parcourir les sentiers à poil, mais je n’arrivais pas à me résoudre à le faire. Cela n’a pas empêché mon esprit de comploter et croyez-moi, il peut comploter. Je pourrais garer ma camionnette à l’une des entrées, me déshabiller, sauter pour verrouiller les portes, sprinter jusqu’aux bois puis me promener tranquillement dans la forêt, moins habillée, la nuit tombée.

Puis, quand je reviens, je sprinte de la forêt à la voiture, je déverrouille la voiture et je saute dedans, et si j’éteins la lumière du dôme, elle ne brillera pas en sortant ou en retournant à la camionnette.

Ce soir, oui ce soir, avant que je n’y pense trop.

C’est là que réside le problème, ne pas penser assez à cette sexcapade, car je portais déjà un 20cm en bandoulière, je mesure normalement 18cm et nous sommes juste à une demi-heure de la nuit et du compte à rebours, mais dans mon état d’excitation sexuelle, la réflexion n’a pas lieu.

20 min jusqu’à la nuit, ok, ok, ok.

Garez-vous, déshabillez-vous, sortez, fermez la porte à clé… juste avant mon sprint vers la forêt.

Ok, ok aba-baba, #@&%, #@&%.

10 minutes avant la nuit, oh boy, oh boy, je dois conduire jusqu’à l’entrée, car mon coeur bat comme un batteur de groupes de rock acide et ma bite est tellement en colère, vous savez de quelles couleurs je parle, alors je monte dans le van avec peu ou pas de vêtements, alors quand je me gare, ça ne prend que quelques secondes et je sors du van pour mon ultra aventure.

15 minutes plus tard : Je me gare, je me déshabille, je saute en verrouillant les portes, le tout d’un seul mouvement, en sprintant vers la forêt.

Je suis là, ouf, j’ai réussi. Maintenant, la promenade. C’est là que je me rends compte que j’ai des clés, qu’est-ce que je fais avec ce trousseau de clés ? Ne vous inquiétez pas pour ça, je vais juste les tenir comme ça avec mon doigt à travers l’anneau comme si…c’était… #@&%, mon orteil est coincé dans une racine d’arbre & avant que je puisse insérer mon doigt dans l’anneau en essayant de rattraper ma chute, les clés s’envolent, …mais je les ai entendues atterrir juste … ici, donc à genoux et à mains nues, souvenez-vous que je suis nu & c’est la nuit, la vraie nuit, pas de lune, pas d’éclairage public, pas de lampe de poche, pas de téléphone portable (il est dans le van)

Non rien et pendant au moins une demi-heure de sentiment pour eux, je ne les ressens pas, maintenant je suis en mode panique. Il est 10h30, je suis à 8 km de chez moi, échoué et d’ailleurs nu.

Des larmes qui s’approchent, comme si cela pouvait aider tout ce dont je me souviens au campement de clochards, il y a quelques jours, j’ai laissé une serviette de bain. Si je peux faire du braille pour me rendre au camp de jour, je peux utiliser la serviette pour me couvrir et faire du braille pour sortir de la forêt, traverser une rue à quatre voies au feu de circulation, où une voiture remplie de jeunes me voient pieds nus en train de modeler une serviette de bain qui essaie continuellement de se déballer, ajoutant l’insulte à la blessure ; quelqu’un crie “laissez tomber la serviette”.

Une fois en face, je marche sur l’épaule pendant deux miles, je coupe à travers le parking de Home Depot, et finalement c’est ma rue, à un mile et demi d’heure. Je rentre chez moi, plein de connaissances qui me demandent d’où je viens et ce qu’il y a avec la serviette.

Embarrassé mais portant toujours une bite dure, je me dirige vers ma chambre où je me déshabille et m’allonge sur mon lit où je revis les dernières 21/2 heures pendant que je caresse ma bite jusqu’à l’éjaculation.

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